Avec l'automne, arrive la saison du steack, des châtaignes dans le poignet, des beugnées dans les doigts, bref, ça sent bon :)
Born to be Plouc Parce que nous le valons bien !
lundi 26 septembre 2011
mercredi 31 août 2011
Voisins de cellule : la galerie
Le "Keuplou Style" est un courant de pensée rivulaire qui commence à compter dans ses rangs fangeux quelques adeptes dont je ne peux m'empêcher de dévoiler ici le portrait.
Le premier d'entre eux : leur leader charismatique en quelque sorte, l'exégète du pattern, le poète du boudin percé, mais aussi le siffleur de daïquiri, le bob l'éponge des retours de pêche, l'amorceur de Mourmelon, le 5ème dan de la dalle en pente, l'alchimiste du mako moulage, le racasseur des flaques d'eaux putrides, l'Ikéa Fou Fisher, le caddies crank bottom fisher, El pinsor de la mort, El loco del Fario ... j'ai nommé le pinseur ligérien :
Antonin Artaud disait de l'empereur du bas-empire romain Héliogabale qu'il était "né dans un berceau de spermes et mort sur un oreiller de sang". Pour reprendre cette comparaison quelque peu brutale, je dirais que le pinseur ligérien est né dans un bocal de Gulp ! (d'où des séquelles parfois visibles sur son comportement étrange au bord de l'eau : " putain, loupé !!! " ou "les mecs, j'ai une tape !!! merde, encore loupée ! " mais encore "euh, vous l'entendez vous le pshiiiit, on dirait comme un truc qui se dégonfle ?") , mort dans un moulage de Rockone KSB Inc.
Il a donné ses lettres de noblesse au style très épuré et novateur du No Catch Fishing, appelé aussi le décroch'style. Aboutissement parfait du déjà ancien et dépassé, voire réactionnaire "NoKill fishing", il s'évertue à chacune de ses sorties, à montrer aux gens qui l'accompagnent à quel point il est vertueux de prendre soin de décrocher "under water", voire même louper volontairement, les poissons qui daignent s’approcher de trop près de ses leurres. Par simple respect pour ses partenaires de jeu. Mains propres, tête haute en quelque sorte. Les poissons, reconnaissants, en redemandent. Seasons l'aurait apparemment déjà contacté afin de réaliser un reportage exclusif sur ce nouveau style de pêche, respectant à son paroxysme la santé des poissons. Chapeau l'artiste, tu es le meilleur d'entre nous.
NB : je t'aime Frédéric.
Le second d'entre eux, certainement le plus teigneux, acariâtre, nourrissant une passion sans borne pour l'Ile de Beauté et ses autochtones d'où une certaine propension à la sieste rétribuée (il est fonctionnaire territorial...), j'ai nommé ... le Renard d'eaux douces.
Si Du Bellay préférait la "doulceur angevine" à l'air marin, c'est incontestablement parce qu'il n'avait pas connu le Renard d'eau douce. Il aurait changé d'avis sur sa passion du 49, croyez le bien !! Pour vous en persuadez, je vais vous conter une anecdote : ce Renard d'Eau Douce (RED pour faire plus simple), avait réussi, après moultes malices, fourberies et intrigues, à persuader un demi-quarteron de pêcheurs (dont votre serviteur) à venir pêcher dans ses rivières l'espace d'un week-end estival : "Je vous emmènerai sur des spots hyper poissonneux, vous inquiétez pas !". Ben, on aurait du, croyez-moi ! Aidé dans son entreprise par son âme damnée, un certain Jujuye, RED s'est bien gardé de nous emmenez sur des spots poissonneux, préférant nous laisser sauver la douille avec des perchettes psychotiques dont l'espérance de vie n’excède que très rarement le chiffre de la température anale d'un phoque mort sur la banquise depuis trois semaines. Bref, un véritable Mazerolles ! Et ce n'est sûrement pas un malheureux même si délicieux gratin de courgettes qui sauvera la mise. Ce fut la déroute. Pire qu'un Open AFCPL, c'est dire.
Je t'aime, Yannis.
Le troisième d'entre eux, vous ne le verrez jamais en poster dans une chambre de brocheton. C'est leur terreur. Leur croque mitaine... Le Keuplou.
Si le terme de "Gâtine" désignait en vieux français un "mauvais pays", une "terre gâstée", c'est sûrement parce que le Vieux Français a parfaitement connu Le Keuplou. Etre rustre et atrabilaire, il ne sort que très rarement de son antre gâtinaise pour fouler quelques trottoirs urbains en quête de brochets affamés stationnant à proximité des piles de pont. Il tente parfois, à la faveur d'une soirée sans lune, une brève incursion dans le Marais Poitevin pour se sustenter de poissons à la mode, l'émancipation des contrées les plus reculées de notre territoire est notable depuis la surmédiatisation des compétitions de pêche aux leurres envers lesquelles notre Keuplou voue une admiration sans bornes.
Le suivant est surement le plus mystérieux, la terreur des ondes farouches. En poisson, angoisse, appréhension, cassez-vous il arrive, se prononce : Davy.
Les eaux et lui ne font qu'un. Le Kaiser Sözé des Marais porte des boucles d’oreilles sculptées dans une Dynagone 3 inch core shot. Au petit déjeuner, il s'enfile trois cover craw et deux one up avant d'aller pisser. Une légende raconte qu'il abandonne parfois volontairement ses cannes au bord de l'eau pour vérifier que le promeneur qui tombe fortuitement sur ses cannes gisant, offertes, au bord de l'eau, les ramènera bien à son propriétaire sans sourciller. Sinon, il cogne à coups de clonk ! Et le résultat vous donne une bonne strouille à dorades.
Néanmoins, son instinct légendaire et son sens de l'eau ne l'ont pas empêchés de se jeter dernièrement dans la gueule du loup en répondant favorablement à une invitation malhonnête d'un infâme roublard angevin (voir plus haut)... Il a ses failles pour nous rassurer sur notre simple condition de mortel.
Un autre encore, est surnommé le globe trotteur en charette. Avec sa scie-sauteuse, ils ne font qu'un. Champdnâ représente !!!
Conceptualisant l'art de la pêche de manière permanente, ce grand penseur halieutique a décidé en juillet dernier, en accord avec sa scie sauteuse, de mettre entre parenthèse quelques mois la pêche afin de réfléchir plus sereinement sur sa passion, une introspection salutaire et salvatrice de son art, un sollipsisme des plus parfaits, comme pour mieux communier avec le poisson, le sublimer par la pensée en quelque sorte.
Chapeau l'artiste, toi aussi, tu es incontestablement le meilleur d'entre nous.
Mais reviens-nous vite quand même au bord de l'eau, l'hiver approche et les coups de Charette entre deux perchettes vont devenir indispensables...
Bien évidemment, la liste des grandes figures du Keuplou Fishing est longue, et il me faudrait des heures pour constituer une galerie de portraits représentative.
Poursuivons dans le désordre et à la volée cette galerie :
Un forçat du 44, en liberté provisoire, mais toutefois sous la surveillance des services de la police côtière :
Un petit gars de chez nous qui daigne parfois sortir de son bivi Barooder et lâcher ses bouillettes pour taquiner la perchette de concours :
Une sirène d'eau douce qui apporte parfois un peu de douceur à la rugosité masculine souvent mise en exergue par quelques apéros dinatoires.
Cette dernière forme un parfait tandem avec son chevalier servant qui, tout chevalier qu'il est, ne rechigne pas lui non plus à accepter des invitations malhonnêtes (voir plus haut...) :
Terminons enfin cette galerie en chantant : " Chauffeur, si t'es champion, appuie, appuie sur le champignon". Engagé au départ pour assister le pinseur ligérien lors de ses sorties, le petit Patrick a rapidement pris son envol en laissant son fidèle professeur à ses décrochés légendaires (voir plus haut). Formant avec lui un tandem jovial, les Bouvard et Pécuchet du Sud Loire, Couille droite et couille gauche sont dans un bateau, qui c'est qui amorce ? Ben les deux ... :
Le premier d'entre eux : leur leader charismatique en quelque sorte, l'exégète du pattern, le poète du boudin percé, mais aussi le siffleur de daïquiri, le bob l'éponge des retours de pêche, l'amorceur de Mourmelon, le 5ème dan de la dalle en pente, l'alchimiste du mako moulage, le racasseur des flaques d'eaux putrides, l'Ikéa Fou Fisher, le caddies crank bottom fisher, El pinsor de la mort, El loco del Fario ... j'ai nommé le pinseur ligérien :
Antonin Artaud disait de l'empereur du bas-empire romain Héliogabale qu'il était "né dans un berceau de spermes et mort sur un oreiller de sang". Pour reprendre cette comparaison quelque peu brutale, je dirais que le pinseur ligérien est né dans un bocal de Gulp ! (d'où des séquelles parfois visibles sur son comportement étrange au bord de l'eau : " putain, loupé !!! " ou "les mecs, j'ai une tape !!! merde, encore loupée ! " mais encore "euh, vous l'entendez vous le pshiiiit, on dirait comme un truc qui se dégonfle ?") , mort dans un moulage de Rockone KSB Inc.
Il a donné ses lettres de noblesse au style très épuré et novateur du No Catch Fishing, appelé aussi le décroch'style. Aboutissement parfait du déjà ancien et dépassé, voire réactionnaire "NoKill fishing", il s'évertue à chacune de ses sorties, à montrer aux gens qui l'accompagnent à quel point il est vertueux de prendre soin de décrocher "under water", voire même louper volontairement, les poissons qui daignent s’approcher de trop près de ses leurres. Par simple respect pour ses partenaires de jeu. Mains propres, tête haute en quelque sorte. Les poissons, reconnaissants, en redemandent. Seasons l'aurait apparemment déjà contacté afin de réaliser un reportage exclusif sur ce nouveau style de pêche, respectant à son paroxysme la santé des poissons. Chapeau l'artiste, tu es le meilleur d'entre nous.
NB : je t'aime Frédéric.
Le second d'entre eux, certainement le plus teigneux, acariâtre, nourrissant une passion sans borne pour l'Ile de Beauté et ses autochtones d'où une certaine propension à la sieste rétribuée (il est fonctionnaire territorial...), j'ai nommé ... le Renard d'eaux douces.
Si Du Bellay préférait la "doulceur angevine" à l'air marin, c'est incontestablement parce qu'il n'avait pas connu le Renard d'eau douce. Il aurait changé d'avis sur sa passion du 49, croyez le bien !! Pour vous en persuadez, je vais vous conter une anecdote : ce Renard d'Eau Douce (RED pour faire plus simple), avait réussi, après moultes malices, fourberies et intrigues, à persuader un demi-quarteron de pêcheurs (dont votre serviteur) à venir pêcher dans ses rivières l'espace d'un week-end estival : "Je vous emmènerai sur des spots hyper poissonneux, vous inquiétez pas !". Ben, on aurait du, croyez-moi ! Aidé dans son entreprise par son âme damnée, un certain Jujuye, RED s'est bien gardé de nous emmenez sur des spots poissonneux, préférant nous laisser sauver la douille avec des perchettes psychotiques dont l'espérance de vie n’excède que très rarement le chiffre de la température anale d'un phoque mort sur la banquise depuis trois semaines. Bref, un véritable Mazerolles ! Et ce n'est sûrement pas un malheureux même si délicieux gratin de courgettes qui sauvera la mise. Ce fut la déroute. Pire qu'un Open AFCPL, c'est dire.
Je t'aime, Yannis.
Le troisième d'entre eux, vous ne le verrez jamais en poster dans une chambre de brocheton. C'est leur terreur. Leur croque mitaine... Le Keuplou.
Si le terme de "Gâtine" désignait en vieux français un "mauvais pays", une "terre gâstée", c'est sûrement parce que le Vieux Français a parfaitement connu Le Keuplou. Etre rustre et atrabilaire, il ne sort que très rarement de son antre gâtinaise pour fouler quelques trottoirs urbains en quête de brochets affamés stationnant à proximité des piles de pont. Il tente parfois, à la faveur d'une soirée sans lune, une brève incursion dans le Marais Poitevin pour se sustenter de poissons à la mode, l'émancipation des contrées les plus reculées de notre territoire est notable depuis la surmédiatisation des compétitions de pêche aux leurres envers lesquelles notre Keuplou voue une admiration sans bornes.
Le suivant est surement le plus mystérieux, la terreur des ondes farouches. En poisson, angoisse, appréhension, cassez-vous il arrive, se prononce : Davy.
Les eaux et lui ne font qu'un. Le Kaiser Sözé des Marais porte des boucles d’oreilles sculptées dans une Dynagone 3 inch core shot. Au petit déjeuner, il s'enfile trois cover craw et deux one up avant d'aller pisser. Une légende raconte qu'il abandonne parfois volontairement ses cannes au bord de l'eau pour vérifier que le promeneur qui tombe fortuitement sur ses cannes gisant, offertes, au bord de l'eau, les ramènera bien à son propriétaire sans sourciller. Sinon, il cogne à coups de clonk ! Et le résultat vous donne une bonne strouille à dorades.
Néanmoins, son instinct légendaire et son sens de l'eau ne l'ont pas empêchés de se jeter dernièrement dans la gueule du loup en répondant favorablement à une invitation malhonnête d'un infâme roublard angevin (voir plus haut)... Il a ses failles pour nous rassurer sur notre simple condition de mortel.
Un autre encore, est surnommé le globe trotteur en charette. Avec sa scie-sauteuse, ils ne font qu'un. Champdnâ représente !!!
Conceptualisant l'art de la pêche de manière permanente, ce grand penseur halieutique a décidé en juillet dernier, en accord avec sa scie sauteuse, de mettre entre parenthèse quelques mois la pêche afin de réfléchir plus sereinement sur sa passion, une introspection salutaire et salvatrice de son art, un sollipsisme des plus parfaits, comme pour mieux communier avec le poisson, le sublimer par la pensée en quelque sorte.
Chapeau l'artiste, toi aussi, tu es incontestablement le meilleur d'entre nous.
Mais reviens-nous vite quand même au bord de l'eau, l'hiver approche et les coups de Charette entre deux perchettes vont devenir indispensables...
Bien évidemment, la liste des grandes figures du Keuplou Fishing est longue, et il me faudrait des heures pour constituer une galerie de portraits représentative.
Poursuivons dans le désordre et à la volée cette galerie :
Un forçat du 44, en liberté provisoire, mais toutefois sous la surveillance des services de la police côtière :
Un petit gars de chez nous qui daigne parfois sortir de son bivi Barooder et lâcher ses bouillettes pour taquiner la perchette de concours :
Une sirène d'eau douce qui apporte parfois un peu de douceur à la rugosité masculine souvent mise en exergue par quelques apéros dinatoires.
Cette dernière forme un parfait tandem avec son chevalier servant qui, tout chevalier qu'il est, ne rechigne pas lui non plus à accepter des invitations malhonnêtes (voir plus haut...) :
Terminons enfin cette galerie en chantant : " Chauffeur, si t'es champion, appuie, appuie sur le champignon". Engagé au départ pour assister le pinseur ligérien lors de ses sorties, le petit Patrick a rapidement pris son envol en laissant son fidèle professeur à ses décrochés légendaires (voir plus haut). Formant avec lui un tandem jovial, les Bouvard et Pécuchet du Sud Loire, Couille droite et couille gauche sont dans un bateau, qui c'est qui amorce ? Ben les deux ... :
mercredi 24 août 2011
Même mort, il bouge encore !
Et oui, je sais, vous vous demandez tous : "mais que fait-il depuis de si longs mois ???". Pas de nouvelles, pas une lettre, pas un coup de fil !!! A t'il été emporté par une lame de fond maraîchine ? A t'il été molesté au pied d'un podium de boulardinos halieutiques au motif de "Non agenouillement servile à l'approche du St Patron des Lunkers" ? A t'il été initié par Brian à l'assommage de brocheton sur la jante d'une caravane et ça aurait dégénéré ???
Et bien non, il s'est simplement fait discret Joe l'Indien ! Refroidi par sa candeur et son angélisme naturels, il a été surpris de voir que ses récits de pêches épiques étaient lus, voire surveillés par des suceurs de spots éhontés, et ce, jusqu'aux plus hautes instances départementales de la pêche :) ! Tout ça pour me piquer mes perchettes à moi !!!! Tout simplement lamentable !
"Discrétion et tempérance" est désormais ma devise. Vous ne me verrez plus pavoiser sur cet espace public en déballant le produit de ma pêche...
Oh, je sais ce que vous vous dites en voyant la photo ci-dessus : "Son égo n'a pas pu résister 10 secondes à sa frêle devise. Il a fallu qu'il les fasse péter ses fishs, ce cochon vaniteux transpirant de fatuité ! ". Imbéciles que vous êtes, misérables vermisseaux...
Que je vous explique : ceci n'est pas un Black Bass pris dans le Marais, mais bien une brème déguisée en BB prise en Slovénie en avril 94. Si vous voulez le point GPS du spot où cette brème a été prise, je veux bien vous l'envoyer en mp, car je ne suis pas chien.
Idem pour cette sardine déguisée en esturgeon, elle a été prise en rockfishing sur une plage des Iles Salomon en août 98. Là encore, si vous voulez le point GPS, mp ...
Et cette écrevisse de marque Louisiane qui se fait passer pour une truite de rivière. Elle a été prise dans l'aquarium du restaurant "Le Maraichin", à Coulon. Elle attendait la fin de la préparation de la sauce gribiche pour être servie en table 12, le samedi soir du 11 juillet 2003.
Bref, vous n'aurez plus rien, niet, nenni, nada, walou !!
Continuez de douiller au plan d'eau de Cherveux entre les papys vifeurs vissés sur leur glacière, attendant la touche improbable d'un sandrillon ayant échappé au carnage annuel des poètes du cru. Continuez votre slalom entre les bouchons alignés au plan d'eau de Noron en faucardant la rivière avec votre moteur électrique. Continuez à balancer vos jigs à la baille entre les nasses garnies de poissons de Papy Quenelle !
Mais de moi, vous n'aurez rien.
Merci.
Bonsoir.
En vous remerciant.
Et bien non, il s'est simplement fait discret Joe l'Indien ! Refroidi par sa candeur et son angélisme naturels, il a été surpris de voir que ses récits de pêches épiques étaient lus, voire surveillés par des suceurs de spots éhontés, et ce, jusqu'aux plus hautes instances départementales de la pêche :) ! Tout ça pour me piquer mes perchettes à moi !!!! Tout simplement lamentable !
"Discrétion et tempérance" est désormais ma devise. Vous ne me verrez plus pavoiser sur cet espace public en déballant le produit de ma pêche...
Oh, je sais ce que vous vous dites en voyant la photo ci-dessus : "Son égo n'a pas pu résister 10 secondes à sa frêle devise. Il a fallu qu'il les fasse péter ses fishs, ce cochon vaniteux transpirant de fatuité ! ". Imbéciles que vous êtes, misérables vermisseaux...
Que je vous explique : ceci n'est pas un Black Bass pris dans le Marais, mais bien une brème déguisée en BB prise en Slovénie en avril 94. Si vous voulez le point GPS du spot où cette brème a été prise, je veux bien vous l'envoyer en mp, car je ne suis pas chien.
Idem pour cette sardine déguisée en esturgeon, elle a été prise en rockfishing sur une plage des Iles Salomon en août 98. Là encore, si vous voulez le point GPS, mp ...
Et cette écrevisse de marque Louisiane qui se fait passer pour une truite de rivière. Elle a été prise dans l'aquarium du restaurant "Le Maraichin", à Coulon. Elle attendait la fin de la préparation de la sauce gribiche pour être servie en table 12, le samedi soir du 11 juillet 2003.
Bref, vous n'aurez plus rien, niet, nenni, nada, walou !!
Continuez de douiller au plan d'eau de Cherveux entre les papys vifeurs vissés sur leur glacière, attendant la touche improbable d'un sandrillon ayant échappé au carnage annuel des poètes du cru. Continuez votre slalom entre les bouchons alignés au plan d'eau de Noron en faucardant la rivière avec votre moteur électrique. Continuez à balancer vos jigs à la baille entre les nasses garnies de poissons de Papy Quenelle !
Mais de moi, vous n'aurez rien.
Merci.
Bonsoir.
En vous remerciant.
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